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L'Accord commercial anti-contrefaçon compte ses opposants

On en sait désormais plus sur le projet d'Accord commercial anti-contrefaçon (ACAC, en anglais ACTA). Et ce qu'on sait provoque des réactions houleuses. La méthode de négociation de cet accord, déjà, avait de quoi scandaliser : ficelé en secret par les lobbies de la propriété intellectuelle et une poignée de grands pays industrialisés, discuté hors de tout cadre international − il n'en manque pourtant pas qui soient compétents sur les domaines du commerce international, de la lutte contre les trafics et de la propriété intellectuelle : Organisation mondiale du commerce (OMC), Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), etc. −, ce traité serait adopté par un « noyau dur » comportant les Etats-Unis, l'Union européenne et neuf autres pays, puis, au fur et à mesure des amicales pressions exercées par les nations les plus « avancées », s'étendrait progressivement à l'ensemble des pays du monde − c'est-à-dire à tous ceux qui souhaitent faire partie du club mondial du commerce.

L'ACTA ouvrirait aux ayants droit (détenteurs du copyright d'un film, par exemple) des facilités exceptionnelles pour faire censurer un site Internet. Les fabricants de sacs à main, les firmes pharmaceutiques et autres détenteurs de marques ou de brevets pourraient solliciter les services de douane pour obtenir la saisie ou la suspension de produits en transit.

La mobilisation initiale des défenseurs d'un Internet libre, mais aussi des militants de l'accès aux médicaments, qui craignaient les conséquences sur le commerce des génériques destinés aux malades du Sud, s'est renforcée de façon impressionnante ces dernières semaines. Une pétition européenne a déjà dépassé les deux millions de signatures ! Et une journée mondiale de manifestations est organisée le 11 février.

(www.monde-diplomatique.fr/carnet/2012-02-10-ACTA)

Selon le texte « L'Accord commercial anti-contrefaçon compte ses opposants », cet accord permettrait aux ayants droits de :
 

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L'Accord commercial anti-contrefaçon compte ses opposants

On en sait désormais plus sur le projet d'Accord commercial anti-contrefaçon (ACAC, en anglais ACTA). Et ce qu'on sait provoque des réactions houleuses. La méthode de négociation de cet accord, déjà, avait de quoi scandaliser : ficelé en secret par les lobbies de la propriété intellectuelle et une poignée de grands pays industrialisés, discuté hors de tout cadre international − il n'en manque pourtant pas qui soient compétents sur les domaines du commerce international, de la lutte contre les trafics et de la propriété intellectuelle : Organisation mondiale du commerce (OMC), Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), etc. −, ce traité serait adopté par un « noyau dur » comportant les Etats-Unis, l'Union européenne et neuf autres pays, puis, au fur et à mesure des amicales pressions exercées par les nations les plus « avancées », s'étendrait progressivement à l'ensemble des pays du monde − c'est-à-dire à tous ceux qui souhaitent faire partie du club mondial du commerce.

L'ACTA ouvrirait aux ayants droit (détenteurs du copyright d'un film, par exemple) des facilités exceptionnelles pour faire censurer un site Internet. Les fabricants de sacs à main, les firmes pharmaceutiques et autres détenteurs de marques ou de brevets pourraient solliciter les services de douane pour obtenir la saisie ou la suspension de produits en transit.

La mobilisation initiale des défenseurs d'un Internet libre, mais aussi des militants de l'accès aux médicaments, qui craignaient les conséquences sur le commerce des génériques destinés aux malades du Sud, s'est renforcée de façon impressionnante ces dernières semaines. Une pétition européenne a déjà dépassé les deux millions de signatures ! Et une journée mondiale de manifestations est organisée le 11 février.

(www.monde-diplomatique.fr/carnet/2012-02-10-ACTA)

D'après le texte « L'Accord commercial anti-contrefaçon compte ses opposants », le dit accord serait ensuite:
 

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L'Accord commercial anti-contrefaçon compte ses opposants

On en sait désormais plus sur le projet d'Accord commercial anti-contrefaçon (ACAC, en anglais ACTA). Et ce qu'on sait provoque des réactions houleuses. La méthode de négociation de cet accord, déjà, avait de quoi scandaliser : ficelé en secret par les lobbies de la propriété intellectuelle et une poignée de grands pays industrialisés, discuté hors de tout cadre international − il n'en manque pourtant pas qui soient compétents sur les domaines du commerce international, de la lutte contre les trafics et de la propriété intellectuelle : Organisation mondiale du commerce (OMC), Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), etc. −, ce traité serait adopté par un « noyau dur » comportant les Etats-Unis, l'Union européenne et neuf autres pays, puis, au fur et à mesure des amicales pressions exercées par les nations les plus « avancées », s'étendrait progressivement à l'ensemble des pays du monde − c'est-à-dire à tous ceux qui souhaitent faire partie du club mondial du commerce.

L'ACTA ouvrirait aux ayants droit (détenteurs du copyright d'un film, par exemple) des facilités exceptionnelles pour faire censurer un site Internet. Les fabricants de sacs à main, les firmes pharmaceutiques et autres détenteurs de marques ou de brevets pourraient solliciter les services de douane pour obtenir la saisie ou la suspension de produits en transit.

La mobilisation initiale des défenseurs d'un Internet libre, mais aussi des militants de l'accès aux médicaments, qui craignaient les conséquences sur le commerce des génériques destinés aux malades du Sud, s'est renforcée de façon impressionnante ces dernières semaines. Une pétition européenne a déjà dépassé les deux millions de signatures ! Et une journée mondiale de manifestations est organisée le 11 février.

(www.monde-diplomatique.fr/carnet/2012-02-10-ACTA)

D'après le texte « L'Accord commercial anti-contrefaçon compte ses opposants », le dit accord a été :
 

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Portugal cumple ahora un año intervenida sin que el rescate financiero haya mejorado sus cifras macroeconómicas, lo que se refleja en la "vida real" en forma de aumento de parados y emigrantes, así como en la profundización de las brechas sociales. Los 78.000 millones de euros concedidos por la Unión Europea y el Fondo Monetario Internacional han servido para garantizar que el país cumpla con sus compromisos y evite el riesgo de impago, aunque no para revitalizar de momento su economía ni reducir la presión de los mercados. En ese lapso han perdido el trabajo más de 100.000 portugueses y se prevé que este año sigan sus pasos otros 40.000 más; su PIB se ha contraído un 1,6% y caerá el doble en 2012; mientras el gasto y la inversión pública se han desplomado.

La recesión ha contribuido a que la deuda pública del país supere ya incluso el valor total de su economía, sobrepasando así los 180.000 millones de euros. El préstamo de la troika llevaba, como contrapartida, la adopción de un vasto programa de ajustes que el Gobierno luso ha aplicado con firmeza. Entre ellos destaca el incremento de la carga fiscal, a través de un aumento del IVA que ha encarecido para todos los portugueses por igual desde la luz, el gas y el combustible hasta la compra de alimentos, lo que ha penalizado el consumo privado, considerado fundamental para regresar a la senda del crecimiento.

(Texo adaptado de Elmundo.es, 07.04.12)

A juzgar por la información contenida en el texto, el préstamo concedido a Portugal por la Unión Europea y el Fondo Monetario Internacional ha:
 

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La crisis no da tregua en Portugal

Portugal cumple ahora un año intervenida sin que el rescate financiero haya mejorado sus cifras macroeconómicas, lo que se refleja en la "vida real" en forma de aumento de parados y emigrantes, así como en la profundización de las brechas sociales. Los 78.000 millones de euros concedidos por la Unión Europea y el Fondo Monetario Internacional han servido para garantizar que el país cumpla con sus compromisos y evite el riesgo de impago, aunque no para revitalizar de momento su economía ni reducir la presión de los mercados. En ese lapso han perdido el trabajo más de 100.000 portugueses y se prevé que este año sigan sus pasos otros 40.000 más; su PIB se ha contraído un 1,6% y caerá el doble en 2012; mientras el gasto y la inversión pública se han desplomado.

La recesión ha contribuido a que la deuda pública del país supere ya incluso el valor total de su economía, sobrepasando así los 180.000 millones de euros. El préstamo de la troika llevaba, como contrapartida, la adopción de un vasto programa de ajustes que el Gobierno luso ha aplicado con firmeza. Entre ellos destaca el incremento de la carga fiscal, a través de un aumento del IVA que ha encarecido para todos los portugueses por igual desde la luz, el gas y el combustible hasta la compra de alimentos, lo que ha penalizado el consumo privado, considerado fundamental para regresar a la senda del crecimiento.

(Texo adaptado de Elmundo.es, 07.04.12)

El sentido del primer párrafo del texto se mantendría inalterado si la palabra "aunque" se sustituyera por:
 

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Amparos contra aranceles a importaciones de EU

Diversas empresas mexicanas han promovido al menos 45 demandas de amparo en siete estados del país para impugnar la constitucionalidad del decreto que impuso aranceles de entre 10 y 20 por ciento a diversos productos estadounidenses en represalia por no permitir el acceso a transportistas mexicanos. La mayoría de las compañías inconformes han argumentado la inequidad, porque el castigo sólo se aplicó a ciertos productos dentro de las mismas fracciones arancelarias.

El impacto de los aranceles ya se refleja en diversos productos, ya que, por ejemplo, las manzanas y las fresas han subido 20 por ciento para los importadores, quienes transmiten el costo a las ventas por menudeo.

(Fragmento de La Jornada, 04.04.12)

Según el texto, las demandas presentadas por diversas compañías mexicanas:
 

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CPC espera conocer propuesta de reforma tributaria antes que sea enviada al Congreso

Su deseo de conocer el proyecto de reforma tributaria que prepara el gobierno antes de que sea enviado al Parlamento manifestó el timonel de la Confederación de la Producción y del Comercio (CPC), Lorenzo Constans, quien dijo que, de todas formas, esa es una decisión que debe tomar el presidente chileno, Sebastián Piñera.

Asimismo, planteó que no opinará sobre los cambios tributarios hasta que no se conozcan en detalle, pero aprovechó para enviar un consejo al presidente Piñera en momentos previos a la reunión que sostendría con el primer ministro japonés, teniendo en cuenta que también se está discutiendo una reforma de este tipo en este país. "Esperemos que se reúnan, que tenga una información que sirva para comparar, porque también, a lo mejor, hay que alivianar la carga", dijo Constans.

(Texto adaptado de Diario Financiero, 31. 03.2012)

De acuerdo con el texto, el Sr. Constans espera que de la reunión con el primer ministro de Japón surjan datos a partir de los cuales:
 

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CPC espera conocer propuesta de reforma tributaria antes que sea enviada al Congreso

Su deseo de conocer el proyecto de reforma tributaria que prepara el gobierno antes de que sea enviado al Parlamento manifestó el timonel de la Confederación de la Producción y del Comercio (CPC), Lorenzo Constans, quien dijo que, de todas formas, esa es una decisión que debe tomar el presidente chileno, Sebastián Piñera.

Asimismo, planteó que no opinará sobre los cambios tributarios hasta que no se conozcan en detalle, pero aprovechó para enviar un consejo al presidente Piñera en momentos previos a la reunión que sostendría con el primer ministro japonés, teniendo en cuenta que también se está discutiendo una reforma de este tipo en este país. "Esperemos que se reúnan, que tenga una información que sirva para comparar, porque también, a lo mejor, hay que alivianar la carga", dijo Constans.

(Texto adaptado de Diario Financiero, 31. 03.2012)

En el texto se dice que el presidente de la CPC solo emitirá su opinión sobre los cambios tributarios cuando estos se conozcan:
 

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Read the text below entitled "Currency disunion" in order to answer question:

Currency disunion
Source: www.economist.com (Adapted)
Apr 7th, 2012

The Irish left the sterling zone. The Balts escaped from the rouble. The Czechs and Slovaks left each other. History is littered with currency unions that broke up. Why not the euro? Had its fathers foreseen turmoil, they might never have embarked on currency union.

The founders of the euro thought they were forging a rival to the American dollar. Instead they recreated a version of the gold standard abandoned by their predecessors long ago. Unable to devalue their currencies, struggling euro countries are trying to regain competitiveness by "internal devaluation", ie, pushing down wages and prices. That hurts: unemployment in Greece and Spain is above 20%. And resentment is deepening among creditors. So why not release the yoke? The treaties may declare the euro "irrevocable", but treaties can be changed.

One reason the euro holds together is fear of financial and economic chaos on an unprecedented scale. Another is the impulse to defend the decades-long political investment in the European project. So, despite many bitter words, Greece has a second rescue.

So the euro zone remains vulnerable to new shocks. Markets still worry about the risk of sovereign defaults, and of a partial or total collapse of the euro. Common sense suggests that leaders should think about how to manage a break-up.

According to the text, currency unions
 

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Read the text below entitled "Currency disunion" in order to answer question:

Currency disunion
Source: www.economist.com (Adapted)
Apr 7th, 2012

The Irish left the sterling zone. The Balts escaped from the rouble. The Czechs and Slovaks left each other. History is littered with currency unions that broke up. Why not the euro? Had its fathers foreseen turmoil, they might never have embarked on currency union.

The founders of the euro thought they were forging a rival to the American dollar. Instead they recreated a version of the gold standard abandoned by their predecessors long ago. Unable to devalue their currencies, struggling euro countries are trying to regain competitiveness by "internal devaluation", ie, pushing down wages and prices. That hurts: unemployment in Greece and Spain is above 20%. And resentment is deepening among creditors. So why not release the yoke? The treaties may declare the euro "irrevocable", but treaties can be changed.

One reason the euro holds together is fear of financial and economic chaos on an unprecedented scale. Another is the impulse to defend the decades-long political investment in the European project. So, despite many bitter words, Greece has a second rescue.

So the euro zone remains vulnerable to new shocks. Markets still worry about the risk of sovereign defaults, and of a partial or total collapse of the euro. Common sense suggests that leaders should think about how to manage a break-up.

In paragraph 3, the author tries to explain why the euro
 

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